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Japan

Fuji Mountain Race, 62ème édition, ma seconde participation.
Depuis 10 jours je surveillais les prévisions météo avec une certaine appréhension car celles-ci n'étaient pas vraiment encourageantes. D'autant plus que cette course de montagne est assez souvent annulée car les conditions au sommet sont assez sévères.
Nous décidons, mon frère et moi, de tenter quand même et nous partons sur Tokyo. 11 heures d'avions et 4h de train plus tard nous voici au pied du Mont Fuji. Il faut savoir qu'il est là, car il demeure complètement invisible dans son manteau de nuages sombres.

Petit séjour à Lagos. Une ville où les bidonvilles poussent au pied des raffineries de pétrole. A cause de l'insécurité les déplacements se font en escorte de police. J'ai bien cherché un sentier pour m'entraîner et le seul que j'ai pu dénicher n'était pas si mal : pas de virage, il traçait tout droit, et alternait plats et montées, mais jamais de descente. Un petit 1000m de dénivelé pour se faire les cuisses.